7 juin 2006
A toi Maurice Papon
C’est un cri déformé dans l’écho de tes yeux Un remord malvenu suspendu à ton cou Il est l’heure d’armer sans prétendre être heureux Et d’écrire « éperdus » tous tes pieux « à genoux ». Le chemin défraîchi aux sourires « aigreurs » S’étale sous tes pas...